dimanche, juin 14, 2020

The Half of It.

  Je n'ai rien à vous raconter. Je mange des Figolu en écoutant FIP. J'ai installé les Sims 4, l'intégrale jusqu'à la dernière DLC (Eco Lifestyle) et ça marche très bien sur mon vieux MacBook Pro de mi-2012, mieux que la précédente version que j'avais trouvé, il ne souffle même pas trop en définition "moyen", j'ai aussi ajouté une modification porno qui fait que mes Sims baisent un peu partout et dans des positions variées, c'est marrant, j'y passe des heures. Du coup je ne regarde plus de série, j'ai juste commencé Hollywood de Netflix, et j'aime bien pour le moment, c'est joli, pleins de beaux acteurs en slip, joyeusement inclusif, pas au niveau de Pose, mais dans la fourchette haute des projets de Ryan Murphy. Je baise aussi, des petits mignons qui ont presque la moitié de mon age. Surtout un, un italien de 23 ans, avec qui j'ai commencé à discuter pendant le confinement, on se roule des pelles non-stop, comme des ados abstinents dans un film américain, comme si la COVID-19 n'avait jamais existé, je suis juste allergique à son parfum, ou/et il est couvert de pollen, mais on arrête pas pour autant. Ça m'a fait penser à la chanson de Sufjan Stevens "All of Me Wants All of You", et ce passage: "You checked your texts while I masturbated. Manelich, I feel so used", quand, après avoir joui sur son ventre, je me suis mouché frénétiquement pendant qu'il se masturbait pour se finir. On s'est regardé The Half of It, rom-com ado Netflix, blotti l'un contre l'autre un soir, et c'était scénaristiquement hautement improbable, comme les autres, avec quelques longueurs, mais un vrai film étonnement, assez délicat et sympathique. Et j'ai appris le mot "impéritie", voilà voilà.

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