vendredi, décembre 27, 2019
Don't Fuck With Cats.
J'ai un peu de mal à faire le bilan de la saison 1 de The Morning Show (tv+), j'ai trouvé les débuts laborieux, la série ne trouvant pas le ton adéquat ni la manière appropriée d'aborder un sujet aussi important et contemporain que MeToo. Il y avait des moments sympathiques, une belle production, des acteurs fantastiques (mentions pour Jennifer Aniston et Billy Crudup), mais c'était globalement une déception. Et puis au fur et à mesure, mais vraiment sur les 3 derniers épisodes, tout s'est mis en place, déjà avec cet épisode 8 assez bouleversant, où Steve Carell peut enfin montrer l'étendu de son talent, et les différents protagonistes qui regardent enfin en face leur rôle dans tout ça, comment chacun décide d'agir ou non, de quel coté on se place, ce que ça change, sur ce qui est une révolution de société encore en cours. Sur la fin de saison elle a réussit à devenir la série qu'elle aurait dû être d'entrée de jeu, et a marqué l'année "télévisuelle". Et j’ai assez hâte de voir la suite du coup.
J'ai regardé un peu Capitaine Marleau, la série policière à succès de France 3, pendant que j'étais en banlieue, j'adore Corinne Masiero, depuis son interprétation qui prenait aux tripes dans le film Louise Wimmer, qui tient la série sur ses épaules, ils la laissent d'ailleurs improviser la plupart du temps, ça se voit, un peu trop d'ailleurs, même si ça reste un plaisir de la voir s'éclater, au bout du quinzième jeux de mots foireux ça a moins d'impact, par contre on peut constater que Josée Dayan est une réalisatrice médiocre, au mieux, et que l'ensemble est juste passable.
J'ai vu aussi le reportage en 3 épisodes sur Luka Mognotta, Don't Fuck With Cats sur Netflix, et je ne sais pas trop quoi en penser, 1 heure aurait suffit.
Moment grève: j’ai attendu 1 heure à Gare du Nord pour avoir un Transilien, pour rentrer passer le réveillon chez mon père, après avoir marché jusque là depuis chez moi faute de bus et métro. C’est le milieu de l’après midi, deux trains sont annoncés, à quelques minutes d’intervalle, sur la même ligne, un train ne faisant que la première partie du trajet d’abord, et ensuite celui qui va jusqu’à ma destination. Quand le premier arrive, les gens se ruent dessus, le train est bondé, on pousse pour monter. Alors que mon train, juste en face sur le même quai, faisant les mêmes stations, est parti 5 minutes après, pratiquement vide.
A Noël, j’ai appris à mon père, né en 1953, qu’il était lui aussi un “boomer”, le plaisir d'offrir.
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