Je ne sais pas si c'est parce que je suis presque un petit vieux (en age pédé) mais je me suis mis à regarder certaines séries avec des sous-titres, chose que je ne faisais plus depuis pratiquement 10 ans (sauf pour The Wire, l'accent de baltimore est incompréhensible), ça a commencé avec Hannibal, en debut de saison je ne comprenais rien à ce que racontait Mad Mikkelsen, ensuite certains passages de Game of Thrones étaient compliqués, et maintenant c'est pour The Killing saison 3, je ne comprends rien à ce que raconte le brillant acteur principal Joel Kinnaman, alors que je n'ai pas eu de problème lors des saisons 1 et 2, si je me souviens bien. J'ai eu une place pour voir Frank Ocean au Zénith, c'était bien cool, les jeux de couleurs sur scène, repris par les dizaines de smartphones dans la salle, étaient vraiment chouettes, j'adore son album, c'était plein de hypsters, c'est juste dommage que le son de cette salle soit aussi pourri.
Je suis arrivé un peu après 1 heure du matin, après avoir marché vite, il ne portait qu'un t-shirt quand il a ouvert la porte dans la pénombre, un t-shirt noir à l'effigie d'un groupe de rock, il m'a dit : je suis déjà cul nu d'une voix mi enfant mi endormi, il s'est collé à moi, m'a embrassé et m'a poussé sur le lit une fois que j'étais nu moi aussi. Il me dit que ça fait plus de 3 mois qu'il n'a rien fait, il se frotte sur moi, son petit corps ferme et mate, je masse son anus avec mon gland, lentement, il a peur que ça ne rentre pas, je prends le gel et une capote, il s'assoie sur moi, lentement, j'imagine qu'on est ado et que ses parents dorment dans la chambre d'à coté. Il commence à avoir mal, j'accélère la cadence, il me jouit sur le ventre: c'est la première fois que je jouis sans me toucher me sort-il étonné un fois que j'ai jouis moi aussi, en lui. Je rentre chez moi, dans les rues du Marais j'ai l'impression que c'est écrit sur mon front que je viens de baiser, je porte mon manteau d'hivers bien qu'on soit au début du mois de juillet, j'ai oublié mon casque d'iPhone donc pas de musique, je sens mes doigts.
samedi, juillet 06, 2013
In a dream you saw a way to survive and you were full of joy.
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1 commentaire:
l'odeur du latex sur les doigts qui nous suit dans le métro
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