She puts the herb in the suburbs.
La saison 1 était déjà d'un bon niveau, sympathique, bien barrée parfois, surtout avec le personnage interprété par Elizabeth Perkins et sa fille d'une 10zaine d'années lesbienne et obèse, et bien sur Mary-Louise Parker brillante comme toujours, mais pas aussi fucked up qu'elle aurait pu (dû ?) être aux vues du pilot et du sujet. Je n'accrochais pas à 200% comme pour cette saison 2 qui entre dans la catégorie humour réellement corrosif à la [Huff]. Je suis un peu à la bourre (la série a été diffusée sur Showtime l'été dernier) mais c'est grandiose, il n'y a plus aucun tabou, j'ai enchainé les 7 premiers épisodes, c'est hilarant et intelligent de bout en bout, pas une seconde de répit, définitivement le meilleur dramedy (Drama/comédie) de l'année. Pour ajouter au plaisir le fils ado est devenu bandant, et les scénaristes ne se retiennent plus pour nous servir un vrai show politiquement incorrecte, la vraie vie des Desperate Housewives et de leurs familles quand on retire le coté soap/mijorées. Entre les leçons de masturbation (j'ai appris quelques trucs), la petite amie dominatrice qui sors de Tsahal, l'employer indien pyromane, et globalement la bande de bras cassés constamment foncdé à la weed, ajoutez à cela le générique chanté par un artiste différent à chaque épisode, et vous obtenez de [l'excellente télé cablée].
Aujourd'hui comme il faisait beau j'ai décidé de sortir me prendre un Mocha Chocolat au soleil, j'ai marché vers les Tuileries en passant par les quais jusqu'au Pont des Arts puis je suis passé devant les Pyramides de la cour du Louvre pour aller m'assoir dans un des fauteuils en fer vert anglais disposé devant un des bassins et suis resté là à écouter ma sélection BO My Life sur mon iPod en regardant les mouettes voler et les statues de mecs à poils qui se tripotent en me disant que Paris était vraiment une ville de pédé. En rentrant ma gorge est en feu malgré les 3 couches de vêtement et le manteau cashmere/laine, et tout de suite je me suis souvenu pourquoi l'hiver on hiberne sous sa couette en matant des épisodes de CSI.
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